Il existe
plusieurs catégories : poussins, benjamins, minimes, cadets, juniors et
seniors.
→ contre-indication : ce n’est pas un sport dangereux.
Il faut y
aller sans forcer, progresser à son rythme et selon son niveau. En faisant
preuve de force, de souplesse et d’endurance.
→ solo, duo, trio,
groupe : ce sport est à la fois individuel
et collectif.
Les solos
s’adressent plutôt à des personnes extraverties, qui aiment faire le show. Les
groupes concernent davantage ceux qui souhaitent travailler en équipe.
→ installations : pas de matériel particulier, ni
salle spécialisée.
En
compétition, la zone d’évolution se résume à un plancher en bois dynamique,
c’est-à-dire souple et amortissant : 10x10m ou 7x7m en fonction des catégories.
→ morphologie : il n’y a pas de morphologie-type.
Pour le
haut niveau, il vaut mieux être longiligne et doté de grandes qualités de
souplesse, d’explosivité et de vélocité, pour être capable d’enchaîner les
mouvements rapidement (la vitesse d’exécution est de 160 battements par minute,
en comparaison, quelqu’un qui fait du fitness « tourne » généralement à 120
BPM!).
→ musculation : elle est indispensable à partir
d’un certain niveau, au même titre que les exercices de souplesse ou du
footing.
→ tenues pour la
compétition : un
justaucorps sans bretelle et un collant chair pour les filles ; un combi-short
– ou un short et un léotard – pour les garçons, qui n’ont pas droit aux manches
longues. Si les tenues peuvent être de n’importe quelle couleur, les chaussures
et les chaussettes doivent obligatoirement être blanches.
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